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Nouveau programme par La Revue du Praticien – DPC

gmsante 19 septembre 2022 Home, Non classé, Toutes les actus

Imosteo et La Revue du Praticien ont choisi de s’associer pour développer leur offre de formations !

 

Filiale du groupe SFP expansion, Imosteo est spécialisée dans les formations e-learning en radiologie et imagerie médicale.

La Revue du Praticien – DPC, du groupe Global Média Santé, également filiale de SFP expansion, est spécialisée dans les formations e-learning à destination des médecins généralistes.

Partageant des valeurs communes, telles que la rigueur scientifique et l’accompagnement des médecins dans l’approfondissement de leurs connaissances, c’est tout naturellement que ces deux marques ont choisi de devenir partenaires autour d’une nouvelle formation : Echographie d’épaule.

Ce programme sera donc disponible dès le 22 septembre 2022 sur la plateforme de La Revue du Praticien – DPC. Il s’agit d’une version simplifiée du programme d’Imosteo du même nom, adaptée à la cible des médecins généralistes.

A retrouver : des tests de connaissance et d’évaluation des pratiques professionnelles, des vidéos, des cas cliniques, des supports pédagogiques…

>> Découvrez le programme en détail en cliquant ici !

 

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Tout nouveau, tout beau !

gmsante 13 juillet 2022 Home, Non classé, Toutes les actus

Dans une démarche constante d’amélioration et afin de simplifier le processus de d’inscription, votre site de La Revue du Praticien – DPC a été entièrement refait.

Résultat ? Un design épuré, une navigation facilitée… En un mot, nous avons opté pour plus de clarté !

En un clic, sur larevuedupraticien-dpc.fr, découvrez :

  • L’ensemble de nos formations DPC en e-learning
  • La conception de nos programmes (promis, on vous dit tout !)
  • Notre équipe d’experts (photos à l’appui 🙂 )
  • Les règles de l’ANDPC (vous serez incollable !)
  • Nos autres formations : en présentiel, FAF PM

Et bien plus… Alors, n’attendez plus !
Explorez par vous-même le nouveau site. Nous espérons qu’il vous plaira.

 

 

Le site change, l’équipe reste la même, toujours à votre écoute :

Par téléphone : 01.55.62.68.48
Par email : dpc@larevuedupraticien.fr

L’équipe de La Revue du Praticien – DPC vous accompagne dans votre formation.

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Le congrès des médecins généralistes

gmsante 8 juin 2022 Home, Non classé, Toutes les actus

Depuis 2001, les Journées Nationales de Médecine Générale (JNMG) sont le rendez-vous annuel des médecins généralistes venus de toute la France et de pays francophones.
Le programme scientifique, élaboré par la rédaction de La Revue du Praticien – médecine générale, est riche et axé sur la pratique quotidienne des médecins traitants.
Un large choix de sessions sont proposées sur des sujets incontournables ou d’actualité, s’appuyant sur des situations concrètes et des cas cliniques.

En 2022, les JNMG c’est :

  • 2 jours de congrès
  • Près de 1 500 médecins généralistes et internes
  • 80 intervenants reconnus dans leur spécialité
  • Plus de 50 sessions et symposiums partenaires
  • Des lives et des replays
  • 60 exposants

 

https://www.globalmediasante.fr/wp-content/uploads/2022/06/jnmg-2022.mp4-Original.mp4

 

Cette année, les JNMG se tiendront les 13 et 14 octobre au Palais des Congrès de Paris.
Pour découvrir le congrès, revivre les sessions des éditions précédentes, vous renseigner ou vous inscrire : rendez-vous sur jnmg.org !

 

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« Nous sommes prêts à mettre les moyens » : le représentant santé de Macron dévoile à Egora son plan pour la médecine de ville

gmsante 6 mai 2022 Home, Non classé, Toutes les actus

Permanence des soins obligatoire, régulation à l’installation, transfert de compétences… Beaucoup de mesures portées par Emmanuel Macron pendant la campagne ont déçu les médecins. S’ils reconnaissent des efforts faits pour transformer le système de santé depuis cinq ans, les libéraux souhaitent que priorité soit désormais donnée à la ville, en souffrance. Le référent santé du Président, François Braun, également chef des urgences du CHR Metz-Thionville et président de Samu-Urgences de France, revient en détail, pour Egora, sur plusieurs axes forts de son programme : les référents santé, la rémunération à l’acte, l’accès aux soins ou encore la grande concertation en santé qui devrait s’ouvrir une fois le Gouvernement nommé.  

 

Egora.fr : Le soir de sa réélection, Emmanuel Macron a promis de faire de la santé l’une de ses priorités. Comment convaincre les médecins de lui faire confiance, alors que beaucoup ont été déçus par son premier quinquennat? 

Dr François Braun : Beaucoup de choses ont déjà été faites en cinq ans. Il y a eu une gestion de la crise Covid qui, quoi qu’on en dise, a été bien faite. Il ne s’agit pas tant de regarder les résultats, même si beaucoup sont bons, mais plutôt les lignes directrices qui ont été tracées pendant le premier quinquennat. Le Ségur montre la volonté d’un investissement massif dans l’hôpital et le souhait de rénover, modifier le système de santé afin qu’il soit plus opérationnel, plus efficace pour les patients et moins destructeur pour les soignants. Maintenant il y a trois objectifs principaux : la problématique de l’hôpital, celle de l’innovation et la souveraineté et, enfin, celle des inégalités de santé. Ce qui me pousse aussi à faire confiance à Emmanuel Macron, c’est qu’il s’intéresse à la prévention, au soin et au suivi. On voit bien que ce n’est pas une réflexion électoraliste à cinq ans. Le dépistage par exemple, personne ne s’y intéresse jamais, car ce n’est pas rentable.

Sur le plan de la santé, l’accès aux soins est l’un des défis majeurs de ces prochaines années. Il faut cependant composer avec un déficit criant de médecins… Sur quoi compte s’appuyer le chef de l’État? 

Je dirais que l’enjeu, c’est l’accès à la santé. Attention à ne pas être restrictif sur le soin. Il n’y a pas de solution miracle pour les déserts médicaux, mais plutôt un panel de solutions qui doivent être adaptées aux territoires. Le programme prévoit un changement de méthode en responsabilisant tout le monde, c’est aussi pour cela qu’on doit faire confiance à Emmanuel Macron. Nous avons promis une grande concertation, c’est dans ce cadre que nous voulons laisser des outils à disposition des professionnels concernés, en leur permettant de réfléchir à comment les utiliser pour répondre à leurs problématiques territoriales.

Quels sont ces outils ? 

Si on s’intéresse aux déserts médicaux, je dirai qu’il y a trois types d’outils : à court terme, à moyen terme et à long terme. On sait parfaitement qu’on ne va pas réussir à faire s’installer 30.000 jeunes dans les territoires demain, donc on doit commencer par redonner du temps médical aux soignants, partout. On voit qu’en cas “d’exercice aidé”, les médecins augmentent leur patientèle. Alors faisons faire l’administratif par d’autres. Imaginez que 25% du temps des médecins soit libéré pour prendre des patients en plus, cela changerait vraiment la donne. Pour cela, il faut s’appuyer sur le principe des assistants médicaux mais on doit simplifier la démarche et augmenter leur nombre. Il existe aussi l’exercice pluriprofessionnel, mais ce n’est pas le tout de mettre des gens ensemble dans les mêmes locaux. Il faut qu’ils travaillent ensemble et de cette manière, améliorer la qualité de la prise en charge. J’insiste sur une chose : il y a des déserts médicaux mais pas de déserts de santé, car il y a partout des pharmaciens, des kinés, des infirmières…

Et à moyen et long terme ? 

En ce qui concerne les réponses à moyen terme, il faut favoriser l’installation dans les déserts. Cela passe par le maintien des aides existantes et la facilitation des stages dans les zones sous-dotées, dès le début d’externat. Pour ça, il ne faut pas dénaturer la formation et il faut donc plus d’enseignants et de maîtres de stage. On réfléchit également à des postes universitaires territoriaux. Il a beaucoup été question de la quatrième année d’internat de médecine générale, elle fait consensus aujourd’hui, mais les stages ne doivent pas être obligatoires dans les territoires en tension car c’est le meilleur moyen de dégoûter les futurs médecins. Il faut plutôt les inciter. Le dernier point, c’est de donner aux étudiants des conditions d’hébergement facilitées et correctes. A l’époque, j’ai fait mon troisième cycle dans la Meuse, j’avais un internat et cela permettait de mieux faire face aux frais, au temps de travail. Aujourd’hui, tout le monde doit participer : les hôpitaux et les collectivités territoriales. On pourrait imaginer un internat de professions de santé, en ville et à l’hôpital, par exemple. Enfin, à plus long terme, on mise sur le numerus apertus, mais il faut avoir une vraie estimation des besoins pour les quinze à trente ans qui viennent.

Vous souhaitez augmenter le nombre d’assistants médicaux : combien en envisagez-vous ? 

L’estimation au plus large reviendrait à ce que chaque médecin qui le souhaite puisse avoir un assistant médical. Il faudra néanmoins faire un effort supplémentaire dans les zones sous-dotées, cela paraît évident. On pourra compter dessus, comme sur l’embauche d’infirmières salariées par la Sécurité sociale pour les médecins de ces territoires, toujours dans l’idée de libérer du temps médical. Quand je parle de simplification, c’est réfléchir aux contraintes qui ont été définies, à l’utilité d’un temps plein d’un assistant médical, d’un poste partagé entre plusieurs médecins, par exemple.

Des professionnels de santé référents vont être nommés, c’est ce qu’a promis Emmanuel Macron pendant la campagne. Quelles seront leurs missions ?  

On se rend compte aujourd’hui que notre système de santé est compliqué pour quelqu’un qui n’est pas averti. Les patients peuvent avoir besoin d’accéder à plusieurs pans de ce système sans trop savoir comment faire. L’idée, c’est donc qu’en complément du médecin traitant, un professionnel puisse servir de porte d’entrée et de guide dans le système de santé. Pour vous donner un exemple, nous avons régulièrement au SAS* des appels de patients âgés qui n’arrivent plus à joindre leur médecin, alors qu’il est pourtant en exercice. En fait, les médecins n’ont plus de secrétariat, ils sont joignables uniquement via des plateformes comme Doctolib… sauf que les patients âgés n’ont pas d’ordinateur et ne le savent pas. Typiquement, ils pourraient dans ce cas aller voir leur professionnel de santé référent, qui le ferait à leur place.

Marion Jort

Retrouvez l’intégralité de l’interview sur Egora.fr. 

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Présidentielle 2022 : les lecteurs de ‘Concours pluripro’ s’imaginent ministre de la Santé

gmsante 12 avril 2022 Home, Non classé, Toutes les actus

Présidentielle 2022 : et si vous étiez le prochain ministre de la Santé ?

Il y a quelques semaines, Concours pluripro a demandé à ses lecteurs de se positionner en tant que futur locataire de l’Avenue Duquesne. Mode d’exercice, revalorisation, lien ville-hôpital, coordination, formation… Objectif des propositions : redessiner le système de santé.

La consigne : « Si vous étiez ministre de la Santé, quelles seraient les trois mesures que vous voudriez mettre en place ? »…  et à en croire l’avis général, l’exercice était intéressant mais complexe. Car ils n’auraient pas « trois mesures [à proposer], mais des dizaines ! » Une large panoplie de mesures visant à soigner un système de santé à bout de souffle. Parce que tous l’affirment : « Rien ne serait comme avant » s’ils étaient ministres de la Santé.

Présidentielle 2022 : les lecteurs de ‘Concours pluripro’ s’imaginent ministre de la Santé

« Mettre en place la ‘Grande Sécu’ ou ‘Sécu 100 % »

PAULINE VETILLARD, médecin généraliste à la MSP Pyrénées-Belleville

  • Mettre en place la « Grande Sécu » ou « Sécu 100 % » et permettre ainsi à la population de prendre l’Assurance maladie comme complémentaire santé.
  • Augmenter de façon majeure le budget pour l’hôpital public, et notamment le salaire des infirmières. La population et les médecins généralistes libéraux ont besoin d’un hôpital fort.
  • Salarier les médecins pour uniformiser les pratiques, réduire les déserts médicaux et empêcher le refus de soins.
Présidentielle 2022 : les lecteurs de ‘Concours pluripro’ s’imaginent ministre de la Santé

« Favoriser la mise en place des outils numériques partagés »

SAMUEL GIVERT, masseur-kinésithérapeute et président de la CPTS des Monts du Lyonnais

  • Valoriser certaines professions paramédicales : IPA (pour délégation de certaines tâches du médecin généraliste), APA (valorisation du sport santé, remboursement des actes…), ergothérapeute (notamment en structure hospitalière et Ehpad), et la délégation de compétences : médecin généraliste vers infirmière libérale, masseur-kinésithérapeute et infirmière en pratique avancée ; infirmière libérale vers aide-soignante et services de soins infirmiers à domicile…
  • Encourager la coordination des professionnels de santé et améliorer la communication et les échanges d’informations entre professionnels libéraux et hospitaliers.
  • Favoriser la mise en place des outils numériques partagés, l’interopérabilité des outils numériques, et le développement de la téléconsultation (encadrée par des professionnels de santé) et de la télé-expertise.
Présidentielle 2022 : les lecteurs de ‘Concours pluripro’ s’imaginent ministre de la Santé

« Intégrer des usagers dans toutes les instances de gouvernance »

JEAN-LUC PLAVIS, patient enseignant et initiateur de la MSP de Suresnes

  •  Réformer l’hôpital et sa gouvernance, avec l’intégration, dans toutes les instances, des représentants des usagers et des professionnels de santé de premier recours (notamment dans les directoires des établissements publics de santé).
  • Renforcer les structures de soins palliatifs (sans oublier les équipes mobiles), tout en intégrant dans la loi l’accès à l’euthanasie active dans un cadre spécifique (fin de vie notamment dans les cas de pathologies incurables). Ce qui implique l’euthanasie active pratiquée en milieu hospitalier, et non le suicide assisté.
  • Développer l’accompagnement global des personnes en situation complexe (traumas, pathologies associées à la fois somatiques et psychiques) par la présence dans la coordination des équipes pluriprofessionnelles d’un nouvel acteur professionnel provenant de l’expertise patient, formé aux contextes de l’accompagnement dans le parcours de vie et au travail en équipe coordonnée.
  • Développer les structures associatives humaines de type « familiales », en lieu et place des Ehpad et des maisons de retraite.

… Retrouvez les différents programmes des autres « candidats » potentiels sur concourspluripro.fr !

“Concours pluripro” remporte le prix de la “Presse écrite professionnelle” du Snitem

gmsante 30 juin 2021 Non classé, Toutes les actus

Lors de la 8ème édition du Prix média du dispositif médical organisée par le Syndicat national de l’industrie des technologies médicales (Snitem) ce 30 juin, “Concours pluripro” a remporté le prix “Presse écrite professionnelle” pour un article sur la rétine artificielle.

Par Karen Ramsay

Sept catégories de prix (6 catégories + le Prix spécial du jury)* pour récompenser tout article de presse portant sur les dispositifs médicaux. Ce 30 juin, le Syndicat national de l’industrie des technologies médicales (Snitem) a récompensé les lauréats de sa 8e édition du Prix média du dispositif médical. Le prix de la “Presse écrite professionnelle” est revenu à Concours pluripro pour l’article “Rétine artificielle : Pixium voit à moyen terme”, publié en avril 2020.

Une édition 2021 qui “s’étoffe, se complète et s’orne de plusieurs nouveautés” a noté Philippe Chêne, président du Snitem. Intérêt des dispositifs à usage unique, production de respirateurs, techniques d’imagerie dans le diagnostic de maladies, numérique en santé, règlementation… Les dispositifs médicaux ont permis de relever les nombreux défis lors de la crise sanitaire qui a démontré l’importance de l’apport d’information, voire de sa vulgarisation, sur des sujets liés à la santé.

Tout en saluant la vingtaine de candidatures reçues, le Pr Christian Seux, responsable du jury pour la catégorie “Presse écrite professionnelle”, a rappelé la qualité des articles reçus. Et a insisté sur la valeur et la pertinence de l’article de Jonathan Herchkovitch, ancien rédacteur en chef adjoint de Concours pluripro – portant sur une rétine artificielle développée par la start-up Pixium Vision et destinée aux patients atteints de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), et de rétinite pigmentaire – qui a permis de “passer de la science-fiction à la science médicale” et de “rendre simple à la lecture quelque chose de très complexe à imaginer”.

* Presse écrite « grand public » (news moins de 2 500 signes et dossier de plus de 2 500 signes),  Presse écrite « professionnelle » (y compris les sites web),  Radio (émission, chronique, reportage de journaux radio),  Télévision (classique ou web, au format JT ou reportage), Étudiant(e) d’une école de journalisme et Prix spécial du Jury.

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